Esprit, es-tu là ? { Libre ~ }

Taiga avait entendu toutes les rumeurs aux sujets du fantôme et elle s’en fichait pas mal, mais en sortant su lycée, une élève lui avait lancée un défi.

« He Aisaka, je parie que tu ne tiendras pas une nuit dans l’école avec le fantôme. »


Elle venait de franchir le portail du lycée et elle s’arrêta net. À cause de cette remarque, cette personne devait mourir. Non seulement elle lui avait parlée, mais en plus elle avait lancée un défi à Taiga. La tigresse relevait toujours tous les défis et ce n’est pas cette journée là qu’elle aurait commencé à refusé. Elle laisserait la vie sauve à cette gamine de deuxième pour cette fois. Taiga se retourna et sortie un bâton en bois de sous son uniforme. Elle se précipita sur l’élève pour la frapper et s’arrêta au dernier moment. Taiga garda ses yeux horriblement méchant et acquiesça un sourire moqueur à la gamine, toujours plus grande qu’elle, pour lui signifier qu’elle relèverait ce défi. Taiga avait toujours eu peur des fantômes et de tous ce qui se rapporte au surnaturel, mais son orgueil était telle qu’elle ne pouvait refuser. Donc, cette nuit là, comme elle le devait, elle était au lycée, en pleine nuit et priais pour que la nuit s’achève.

Une envie pressante lui pris. Elle devait se diriger vers les toilettes, mais qui sais sur qu’elle fantôme elle pouvait tomber. Ses petits soulier claquait sur le plancher se qui lui donnait la chaire de poule. Leur résonnance ne lui apportait aucune confiance. Soudain, elle entendu un bruit. Bien sur, elle avait emmené une lampe de poche, mais elle s’était dit que pour aller aux WC elle l’aurait plus encombré qu’autre chose. Elle se dirigea vers la source de bruit, la peur crevant son petit cœur de gamine. Un éclair éclata dans le ciel. Son Shugo Chara apparue sur son épaule.

« Courage Taiga! Ce n’est qu’une rumeur après tout. »

N’écoutant plus Kurin, Taiga, plus effrayée que jamais, avançais à pas de souris dans les couloirs sombres de son propre lycée.

Taiga avait la peur de sa vie, le fantôme approchait d’elle pas à pas. Lentement, les larmes remplirent ses yeux de gamine. Kurin sortie un mouchoir de nulle part et essaya de la calmé sans succès. Puis le toner gronda suivit d’un éclaire, laissant voir le visage d’un jeune homme. Celui-ci éclaira Taiga de sa lampe torche. Taiga renifla.


Taiga était figé par la surprise et l’adrénaline. Rien ne sortait de sa bouche.

Taiga se força un peu et sortie enfin un mot de sa bouche.


Taiga essuya ses larmes avec le mouchoir avec le mouchoir que Kurin avait laissé sur son épaule avant d’aller se cacher. Son ton était désagréable et n’inspirait pas une très jeune fille de primaire.


HRP: je me fou de ton retard... t'as vu la longueur de mon texte!!.

Après avoir essuyé toutes ses larmes, elle regarda le jeune homme devant elle d’un air méchant. Il lui demanda si elle cherchait quelque chose.


Ce n’est qu’après qu’elle se rendit compte, embarrasser, qu’elle venait de lui dire où elle allait.

Taiga ne prononça même pas le reste de sa phrase. Elle avait une telle réputation qu’il la connaissait, c’était certain. Alors il devait certainement savoir ce qui lui arrivera. N’empêche que Taiga n’aimais pas le comportement qu’il adoptait fasse à elle. Pour qui la prenait-il? Elle avait l’impression qu’il la prenait pour une jeune petite fille de primaire. Naturellement, ça a choqué Taiga, mais ça ne la pas étonner. Avec le nombre d’élèves qui se croient bienveillant au lycée et qui lui dit qu’elle c’est tromper de bâtiment en lui demandant gentiment si elle veut qu’on l’accompagne à sa classe, oui on peut dire que c’est une habituer. D’ailleurs, tous ces élève ont fini à l’infirmerie. Et Taiga dans le bureau du directeur. Mais là, elle commence à en avoir mare de tout ça.

Spoiler:

Le jeune homme ne se déplaça pas pour autant. Il commençait vraiment à taper sur les nerfs de Taiga avec toutes ses questions. On aurait dit qu’il ne pouvait pas s’arrêter de parler.

« Tu as quel âge ? »

Taiga fit moue. Elle n’avait pas envie du tout de lui parlé, mais il fallait qu’elle lui réponde si elle voulait qu’il lui fiche la paix et qu’elle puisse aller à la toilette avant qu’elle ne s’échappe sur elle. Ce garçon avait l’air insouciant, il souriait tout le temps, mais il n’avait pas du tout remarqué que Taiga se tortillait tellement elle avait attendu. La tigresse allait répondre qu’il lui coupa l’herbe sous le pied.

« Tu ne serais pas cette fille que tout le monde dit ‘violente’ qui est en deuxième année de Lycée ? Si ce n’est pas ça, au temps pour moi, tu lui ressemble un peu ! »

Taiga bouillonnais de l’intérieur. Elle prenait sur elle-même, mais trop c’était trop. Il y eu un coup de tonner, puis Taiga commença à crier.

« JE SUIS AISAKA TAIGA, JE SUIS EN 3EME. J’AI 17 ANS, JE PEUX T’ENVOYER À L’INFIRMERIE QUAND TU VEUX, MAIS LAISSE-MOI-ALLER-AU-TOI-LETTE. »

Elle se retenait tellement que des larmes commençaient à perler au coin de ses yeux. Elle bouscula maladroitement le jeune homme et couru jusqu’au toilette. Malheureusement, il était trop tard. Sa culotte, l’arrière et le devant de sa jupe était trempé. Taiga s’arrêta pile devant la porte des WC ce retourna et couru jusqu'à sa tente, le visage ruisselant de larmes.

Oh mince...
Il semblerait qu’il ait fait une boulette, le petit Momiji. Il voulait pourtant juste bien faire. Comme quoi, la naïveté et le bouletisme est sans limite chez ce jeune homme. Il regarda les yeux écarquillaient Taiga qui partit en courant. Oh mince. Elle avait une envie présente et il l’empêcher de passer. Il se sentit légèrement mal pour elle, et il se promit de se faire pardonner la prochaine fois qu’il l’a croiserait dans l’établissement… Il devait d’abord être sûr qu’il réussirait à retenir ce qu’il venait de se passer, il se tourna vers son Shugo Chara avec une petite moue.

« Ah bah bravo, Momi. »

Déclara-t-il en applaudissant de manière sarcastique. La moue de Momiji s’étira encore plus. Boulet va.

« Elle doit m’en vouloir à mort. Faut que je lui trouve quelque chose pour m’ex- »

Il n’eut pas le temps de terminer qu’un éclair apparu, ce qui lui fit sursauter. Et si… Et s’il partait d’ici ? Il ne se souvenait même plus pourquoi il était venu, ses pensées étaient trop occupées à réfléchir à ce qu’il pouvait faire pour se faire pardonner de la petiote que de chercher un stupide fantôme qui n’existe pas, de toute façon. Il accéléra le pas pour partir de cet endroit, en passant devant la tente de la Taiga. Tiens, il ne se souvenait pas qu’il y avait un club camping, dans le Lycée… ?

Spoiler:

Taïga était revenu a sa tante depuis peu et essayait tant bien que mal d'arrêter de pleurer. C'est seulement après quelque minute qu'elle y parvint. Ça ne servait a rien de s'apitoyer sur son sort. La vie ne lui fera pas apparaitre des vêtements de rechange si elle pleure comme une enfant. Elle se contenta de poussez son sac de couchage et tout le reste de ses choses pour se laisser un petit coin ou s'assoir directement sur le sol pour ne pas mouiller ses affaires de son urine. Sa tête accoter sur ses genoux, elle attendait que le temps passe, elle attendait que le jour se lève pour enfin pouvoir retournée chez elle. Parce qu'elle relèvera son défi jusqu'au bout!!! Normalement, elle aurait retirée ses vêtements, mais la seule pensée qu'il y ai quelqu'un d'autre dans le lycée l'inquiétait un peu. Et en plus, il y avait le... Le... Le fantôme! Taïga frissonna d'effroi a cette idée. 

Un éclair déchira le ciel et son tonnerre ne mis pas deux siècle a arriver. La tigresse sursauta. Si il y avait quelque chose que Taïga détestait après les fantôme, c'est bien les orages... Pff! C'est pas sa journée dis donc! Un petit cri s'échappe de sa gorge et elle sentait même Kurin trembler dans la poche intérieur de sa veste, bien au chaud contre sa poitrine inexistante. Mais sa maitresse avait froid et grelottait. Son échappé ne l'aidait sûrement pas. 

Soudain, un éclair imprima une longue silhouette sur la toile grise bleu de la tante. Le fantôme! Taïga retenait son souffle en même temps qu'un cri. Si elle ne faisait pas de bruit, il s'en irait et la laisserait tranquille. Elle l'espérait en tout cas. Elle tendit une main grelottante vers sa lampe de poche, mais lorsqu'elle essaya de l'ouvrir, les piles décida de lui poser un lapin. L'ombre se rapprochait de la tante et Taïga enfoui sa tête dans ses genoux. 
Adieu, monde cruel!!!!!!