✗ William Anderson ✂ complete ㄨ

identity feat Yuuki Natsuno from Shiki. prénom William nom Anderson âge 17 ans. or. sexuelle Bisexuel rang The life is a puzzle Code: <span style="font-size: 10px;"><b>T</b>he l<i>if</i>e is a <b>p<u>u</b>z</u>z<i>le</i></span> classe 3è de lycée. métier None. groupe Non-Gardien.

shugo chara feat Byakuran from Katekyo Hitman Rebord. nom Recto chara change Il envoie de la foudre par l'outil de ses doigts. Il a du mal à contenir ce pouvoir, cela peut être dangereux parfois. physique chara nari Click Here nom du chara nari « Gold Blood. » rêve Il voulait simplement pouvoir être vraiment la personne qu'il dit et montre être, pour ne plus devoir cacher une personnalité faible.

story

Décembre. Londres. Une femme, courant pour s'enfuir d'un bâtiment redoutable, redouté. Un quartier fréquenté par des mafieux. Elle était pieds nus dans la neige et coursée par des hommes, apparemment des mafieux.

« Il faut la retrouver ! Faites vite ! »
Tic. Tac. Tic. Tac.
« Plus vite ! Elle va nous échapper ! »
Tic. Tac. Tic. Tac.
« On a plus beaucoup de temps ! Remuez-vous ! »
Tic. Tac. Tic. Tic. Tic. Tic. Tic... PAN.

Elle venait de mourir à l'instant. Cette femme... elle était enceinte. Elle venait de mourir sans l'être. L'enfant était né. Mais où était-il passé ?

« Monsieur, elle est morte. »
Tic. Tic. Tic. Tic.
« Vous avez tiré trop tard, bande d'idiots ! »
Tic. Tic. Tic. Tac.
« L'enfant ne peut pas être bien loin, il vient de naître. »

« S'il n'est pas près de sa mère c'est que quelqu'un l'a eu avant nous. »

Juillet, 4 ans plus tard. Londres. Il était au bord de la piscine, les pieds dans l'eau. Ses jambes balançaient d'avant en arrière. Le reflet du soleil sur l'eau claire du bassin et derrière lui, un homme. Il le regardait en souriant. « William, à table ! », lui dit-il en se retournant, vers la salle à manger. Le garçon tourna la tête vers l'homme. Ses beaux yeux fixant la table. Encore une table. Pourquoi encore cette même table ? « J'arrive. »

Ils se mirent à table. William chipotait dans son assiette avec sa fourchette, un coude sur la table, sa main retenant sa tête par la joue. L'homme mangeait et fixa le garçon. « Qu'est-ce qui ne va pas, William ? » Il ne répondit pas tout de suite. Il fixa son assiette. « Pourquoi maman vient pas ? » L'homme hésita et déposa ses couverts sur la table. « William, je t'ai déjà expliqué que maman est occupée, elle ne peut pas venir. » Il leva la tête. « Elle est occupée depuis que je suis né... » L'homme fut surpris. Il baissa le regard. « Écoute, ta mère... » William l'interrompit. « Elle est morte, hein ? » L'homme fit un signe positif de la tête. William n'était pas niais comme il l'aurait espéré. « J-je vais te raconter... »

Il y a 4 ans... « On a plus beaucoup de temps ! Remuez-vous ! »
La femme courait, elle se cacha, derrière un mur, rejoignant son mari. « Chérie, tout va bien ? » Elle était épuisée et pleurait. « Andrew, je vais accoucher. » Son teint devint pâle. « Quand il sera né. Prends-le avec toi, cours aussi vite que tu peux, va-t'en, loin. Et promets-moi qu'il s'appellera William. » Il fit un signe hâtif et négatif de la tête. « Je ne peux pas te laisser mourir ! C'est hors de question ! » Elle sourit. « Sauve son avenir. Le mien s'arrête ici. » Il pleura. Tic. Tac. Tic. Tic. Tic. Tic. Tic... Il prit l'enfant qui venait de naître et se retira, à contre-cœur. PAN.

« Tu comprends, maintenant ? » William fronça les sourcils, il semblait en colère. « Pourquoi ils voulaient tuer maman ? » L'homme soupira. « C'est toi qu'ils voulaient. L'enfant d'un homme si puissant, tout de même, représentait une menace terrible pour eux. » Il ne comprit pas. Lui, un enfant d'un homme puissant ? Son père n'avait fait que fuir pourtant, dans son histoire. « Je ne suis pas ton père, William. Mais elle était bien ma femme. » Elle t'a trompée, tu le savais, et tu l'aimais toujours, imbécile. Il se leva et sortit de table, allant dans sa chambre. A cause de lui, sa mère était morte. A cause de lui, un meurtre fut commis. Tout ça, à cause de sa naissance.

Il pleura, la tête dans son coussin. Il était mature, pour ses 4 ans, mais savoir ça était trop dur. Même pour lui.

Octobre. William, 8 ans. Londres. William était sorti avec son père, marchant vers la plaine où ils allaient chaque fois. Avançant sur le trottoir d'un pas enjoué, William attendit son père aux passages pour piétons, connaissant le chemin par cœur. Il était quelques mètres devant son père. Il voulait la revoir. Cette petite fille qu'il avait vu la dernière fois, à la plaine. Elle était si jolie...

Il la vit sur le chemin. Elle traversai. Mais son père était bien devant elle. Elle était donc seule, avec une voiture qui lui fonçait dessus, ne la voyant apparemment pas. William s'empressa de lui sauter dessus, la poussant loin devant. La voiture freina à temps pour ne pas l'écraser complètement mais il avait quand même été touché. Le conducteur sortit rapidement de sa voiture tandis que son «père» arriva près de lui. « William !! Comment te sens-tu ? Réponds-moi ! » Les dents serrées, les yeux tristement ouverts, fixant la gamine qui était partie sans même se retourner. Salope. Il ferma ses yeux. Doucement, il souhaita une chose... Une seule et unique chose. Ne plus être aussi con, plus fort, d'esprit, et de corps.

Il se réveilla dans un hôpital. Un homme à son chevet, celui qui était sensé être son père. « O-où suis-je ? » L'homme se retourna brusquement. « William ! Tu es enfin réveillé ! Je suis si heureux... » Le garçon le regardait bizarrement. « C'est à moi que s'adresse ce message, monsieur ? » L'homme ne dit rien. « M-mais... William, c'est moi ! T-ton père... » Il fronça les sourcils. Il n'était pas son père. « Je ne vous ai jamais vu de ma vie, comment serait-ce possible que vous soyez une personne si importante ? » Le père soupira et sortit de la salle. William le regardait partir, indifférent.

Le soir, il se recoucha. Il devait sortir d'hôpital normalement. Mais il était fatigué. L'homme vint le rechercher. Il le mit dans la voiture en remerciant les docteurs. Se mettant au volant, il passa devant sa résidence sans s'arrêter. Il se gara devant l'aéroport où une femme entrait. « Léanne ! » Elle se retourna, voyant son cher frère avec un enfant dans les bras. « Tu as encore ce monstre avec toi... » Il soupira. « Ce n'est pas un monstre, c'est mon fils. Et je ne pourrai plus m'en occuper. Pas dans les circonstances où il ne se souvient plus de moi. » Elle haussa les sourcils. Il lui expliqua le problème.

« Je vois. Et que veux-tu que j'en fasse ? » Il fixa sa sœur, longtemps. « Tu te souviens de cette académie dont nous avions parlé, n'est-ce pas ? » Elle sembla pensive. « Majiku ? Bien sûr. Je suppose que tu veux que je le mette en pensionnat... ? » Il fit un signe positif de la tête. « Ils en prendront soin... Bien plus que moi. » William fut déposé dans les bras de la femme, et transporté en avion avec une simple valise, emportée par son père. Un œuf sortit de la chambre d'hôpital où il était et s'empressa de partir vers l'aéroport, sentant la présence de son maître de plus en plus proche. Il arriva à trouver le bon avion. Dans le cote à bagages.

Arrivés au Japon, la dame descendit avec William dans ses bras et prit sa valise, l'emmenant à l'académie, comme prévu. L’œuf recherchait désespérément son maître, en voyageant hors de l'aéroport. La dame le traita auprès de l'académie comme «orphelin». Ils l'installèrent dans une chambre et elle le laissa se réveiller là, sans lui dire quoi que ce soit. Elle était déjà partie.

L’œuf arriva à l'académie après deux jours, retrouvant la chambre de son maître. Mais il n'était pas prêt pour qu'il naisse. William ne savait même pas qu'il avait souhaité une telle chose. Peut-être qu'un jour, il saura. Mais apparemment, ce ne sera pas pour tout de suite...

mental

William est incompréhensible et difficile à suivre. Autant dire que c'est impossible de le comprendre, de rester dans la même opinion sur lui. Pour la simple raison qu'il change tout le temps. Ce n'est pas de la schizophrénie. Il a juste un défaut, un gros défaut mais aussi une belle qualité en même temps, il est extrêmement sensible. A la moindre petite phrase, il est tellement affecté parce qui est dit qu'il change directement de personnalité. Ou autant dire qu'il reste lui-même sans vraiment l'être.

Commençons par ce qu'il n'est pas. Ce qu'il essaie de faire croire qu'il est. Celui qu'il veut être, celui qu'il a souhaité devenir. Celui que Recto représente.

Il montre une personne indifférente, blasée. Son regard plein de suffisance laisserait croire qu'il ne ressentirait pas grand chose, qu'il serait insensible aux paroles de quiconque. Mais même avec cette personnalité «blasée» il y a une chose qu'il ne peut pas faire...

Il se trouve que le jeune homme est toujours impuissant face à des pleurs. Bien sûr, il reconnait le vrai du faux, quand les larmes viennent pour un rien, c'est évidemment avec grand plaisir qu'il envoie balader la personne. Mais lorsqu'il sent vraiment les sentiments de la personne, ça devient grave dans sa tête, son cœur ratant des battements. Pour lui, que ce soit un homme ou une femme, voir quelqu'un pleurer, pour une chose dite grave, c'est insupportable.

Pourtant, réconforter les gens, les accolades, il ne fera jamais avec cette personnalité. Ça lui est impossible de penser un jour briser cet image de lui qu'il se fait, qu'il montre en public, en montrant des sentiments forts ou une réelle prévenance, attention envers quelqu'un. Cela parait compromis en pensant qu'il ne supporte pas les larmes dans les yeux de quelqu'un.

Mais même avec cette personnalité, William est calme. Toujours calme. Même si on l'agresse, que ce soit par les coups ou les mots, il reste toujours paisible. Comme si rien ne l'atteignait. Bien sûr, c'est faux. Mais il garde tout son sang-froid, pour ne pas aggraver la situation. Et c'est réellement une preuve d'intelligence. Car oui, on peut être beau et intelligent à la fois. Ça existe.

Dans ce qu'il ne montre pas, ce que j'appellerai son «vrai» lui, bien que cette autre personnalité est aussi réelle que celle-ci, elle lui correspond beaucoup mieux car disons que c'est la première personnalité qu'il avait, qu'il a toujours, mais qu'il cache. Dans beaucoup de cas, c'est ainsi. Sauf qu'il n'est pas le gentil garçon qui se cache. Car non, William a beaucoup de défauts. Mais des défauts plus fins, plus difficiles à remarquer.

J'avais parlé d'intelligence, je vais d'ailleurs y revenir. Car il se trouve que dans n'importe quel cas, William ne fonce pas dans le tas, il réfléchit, il est intelligent. Il se pose beaucoup de questions, se demande si ça va réussir, ou échouer, bien sûr. Puis il test après avoir un taux assez important de chance de son côté. Cela parait long, expliqué avec des mots. Mais il réfléchit vite, très vite. En quelques secondes il arrive à trouver des solutions, justes ou pas. Dans n'importe quelle situation, il utilise son cerveau, pas son corps. Ce serait trop dommage de l'abimer. Ce sont des réflexions précises.

Mais maintenant, il y a aussi beaucoup de questions qu'il se pose, des questions moins importantes sur le moment-même où il se la pose mais importante globalement. Ces questions, tout le monde se les posent. Des questions d'amour, concernant les filles, l'école, les cours, le système politique. Tout ça, il se demande à quoi cela sert. Pourquoi ça nous arrive, pourquoi nous ne sommes pas des boules de poils, comment les sentiments arrivent, comment le corps tremble à cause de nos émotions, toutes ces choses, c'est compliqué pour lui, et il cherche des réponses.

Car il est de fait que William déteste ne pas comprendre quelque chose. C'est une vraie torture, car après, il se prend la tête jusqu'à trouver la réponse. Mais il se pose tellement de questions qu'il se torture en permanence. Il est certain que s'il continue sur cette voie, un jour, il saturera.

Mais William n'est pas vraiment mauvais, au fond. Il est juste un peu entêté. Ses idées, il les garde à moins qu'on lui ai donné de bonnes raisons de les lâcher. Une chose est sûre par contre, c'est qu'il n'aime vraiment pas se prendre la tête, et pourtant, c'est ce qu'il fait en permanence. Espérons seulement qu'il supportera.

physical

Cette partie est dérangeante. Très dérangeante. Car décrire la perfection est un défi difficile à relever pour la simple raison que les mots ne sont pas la hauteur de la réalité. Cette pure réalité que finalement, Dieu existe, mais ce Dieu, il s'appelle William et il n'a aucun pouvoir de création d'hommes. Il a le pouvoir d'avoir un physique entièrement parfait.

William, comme vous l'aurez compris, est beau, que ce soit dans son apparence corporelle ou vestimentaire. Mais commençons par le meilleur, pour un ordre logique, son corps.

Tout d'abord, William n'est ni trop grand ni trop petit. Disons qu'il est un petit peu plus grand que ce qu'on appelle communément la «taille moyenne» pour les personnes de son âge. Sa taille plus ou moins normale «empêche» certaines personnes de le traiter de géant ou de nain. William est musclé, mais pas beaucoup. Autant qu'il en faut pour ne pas paraître ni larve, ni armoire à glace, en évitant de sembler trop gros ni trop mince. Tout cela, dans la parfaite harmonie de sa taille.

Ses jambes sont proportionnées au reste de son corps, comme tout son être, harmonieuses. Mais elles ne sont pas «que magnifiques». Elles sont aussi puissantes. Ses records en éducation physique dans des tests tels que les sauts en hauteur on en longueur sont sûrement des catégories où il amasse un maximum de points. Ses bras, de leurs côtés, arrivés à mi-cuisses comme la plupart des gens qui ont un corps plus ou moins proportionnés, sont aussi puissants que ses jambes, peut-être quand-même un peu moins.

Ses épaules, comme tout le reste de son corps, bien positionnées et mesurées par rapport au reste. Mais une qualité essentielle sur cette partie de son apparence corporelle : la souplesse. Effectivement, ses épaules sont souples, comme sa colonne vertébrale d'ailleurs. Mais ils ne les utilisent généralement pas. Il ne préfère pas. Ou du moins, il n'a pas d'opportunité pour le faire.

Passons à son visage... son joli visage.. Ce dernier ( cité trois fois en même pas deux phrase ) est fin, digne des grands mannequins et sa peau est douce. Tellement douce. Son nez n'est ni trop gros, ni trop petit, ni trop allongé, ni trop contracté, il est parfait. Pareil pour ses lèvres toujours envieuses. Ses yeux mauves ont une ligne rouge démontrant sa pupille, paraissant tellement profonde qu'on pourrait se perdre dedans, d'un simple regard. Ce dernier peut rendre n'importe qui fixes pendant des heures. On ne se lasserait pas de regarder une telle merveille.

Ses cheveux sont plus courts que mi-longs et mauves, positionnés à peu près dans tous les sens. Pour la simple raison qu'il se lève le matin sans penser à prendre sa brosse à cheveux, il secoue juste la tête. Seulement, il est certain qu'en se brossant les cheveux, il serait moins beau, tout de même.

Nous avons fait le tour. Le tour de ce beau garçon, déshabillé. Malgré certaines parties non-expliquées pour des raisons de majorité de mineurs sur le forum. Passons donc à ses vêtements. Car il se trouve que notre Dieu est un des rares personnages à changer de vêtements.

Tout d'abord, nous allons commencer par son éternelle veste. Malgré que je viens de citer un changement de vêtements régulier, il se trouve que notre cher ami porte une même veste. Je le vois mal changer de veste tous les jours, d'ailleurs.

Après, il met rarement de pulls car il se trouve que notre jeune homme n'est aucunement frileux. Il a trop vite chaud pour mettre une couche en plus. Il se promène donc toujours avec un T-shirt, manches courtes bien sûr et quand il sort, avec sa veste. Après, il met toujours des jeans, parfois des jeans usés, mais toujours de beaux jeans.

Questions chaussures, William a l'étrange manie de ne lacer qu'une partie de ses chaussures, l'autre partie non lacée ressort au dessus de ses chevilles. En général, il met des converses en toiles, noires de préférences. Mais cela dépend souvent des saisons.

Pour résumer, personne ne peut dire que William a un défaut physique, c'est impossible, car il n'en a pas. Mais les apparences sont trompeuses, ne faites pas attention à son physique, ne restez pas avec lui, ce serait dommage pour vous.

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